Aucun des évenmement qui y est conté n'a eut lieu !
Tout liens avec des personnes ou des évenements réels serait une pure coincidence.
Bonne lecture à tous et à toutes !
Il se demandait ce qu’avait bien pu lui faire subir ceux qui avaient abusé de mon corps.
Est-ce que tout mes orifices avaient servit à soulager la trique de ces salauds ? Il m’imaginait sûrement, gémissante, hurlant sous les assauts de ceux qui me forçaient, le membre gonflé à bloc, puis se vidaient en moi.
Nathan
se demandait vraiment ce que ça lui ferait d’être à leur place, de me pénétrer, et de prendre plaisir à aller et venir entre mes cuisses ruisselantes, tendit que j'ondulait sous son corps.
Il se voyait me prendre, enfonçant son membre dans mes orifices, n’en épargnant aucun. Il me voyait gémir
sous ses assauts, le suppliant de continuer, de venir au plus profond de mes entrailles.
J'avoue que tout celà ne m'aurait pas déplut.
Il ne mit pas longtemps à venir, salissant le drap immaculé de sa semence. Les doigts poisseux, il se releva
et se dirigea vers la salle de bain.
En y repansant, il falait voir ses yeux, le jour ou mon ex petit ami lui avait parler de notre relation, un soir ou il était encore beurré. Oh, ce salaud avait eut plus de chance que lui : il avait couché avec elle, une nuit. Et de la manière dont il en avait parlé, une fois, elle était plutôt bonne… Il n’avait pas lésiné sur les détails, détaillant ses cris lubriques, son entre jambe aux lèvres douces et roses, et ce liquide sucré qui s’en dégageait. Nat en avait tellement envie qu'il suffisait de regarder la bosse énorme qui pointait sous son pantalon pour comprendre que ce n'était pas pour une simple envie pressante qu'il s'était enfermé à double tour dans les toilettes.
Il venait de sortir de la salle de bain quand j'ai fait semblant d'entrer dans la chambre. J'allait partir chez ma tante dans une ville voisine, afin de trouver un boulot convenable, et Nat avait insisté pour qu'on boivent ensemble la veille. Mais il n'était pas assez courageux pour m'avouer qu'il avait envie de moi.
Moi, je ne me suis pas présentée, je m'appelle Alice. Mon nom de famille ? Personne n'a besoin de le savoir. Et puis, est ce vraiment interessant ? Donc je suis partie, laissant Nat seul. Je ne sais pas combien de temps il lui faudra pour me dire qu'il me veut, mais en attendant, il a intêret à bien entrainer son poignet, parce que je ne risque pas de revenir avant un bon moment.
J’allais et venait, arpentant les ruelles ça et là. Je ne savais absolument pas où j’avais mit les pieds. Et lorsque je réalisais que j’étais perdue et qu’il n’y avait personne, il était trop tard.
« Et mais regarde moi ça ! »
C’était un gars qui parlait d’une voix pleine de sous-entendus vicieux.
« Tiens ! Hé ! Jack ! Je crois qu’on tient quelque chose ! »
Le dénommé Jack surgit de derrière un mur et siffla. Il sourit à son comparse et le rejoignit. Je n’avais pas bougé d’un pouce.
« - C’est qu’elle est pas mal du tout cette petite ! Remarque, elle n’a pas besoin de parler tant qu’elle sait se servir de sa langue pour autre chose ! »
Et ils rigolaient. J’imaginais déjà très bien ce qu’il allait se passer.
Moi, prise au milieu d’une ruelle par deux inconnus en même temps, avant d’être abandonnée là dans un état qui en dirait long sur ma vertu, même si elle était quasi inexistante, ou pire, que ce viol ne soit que le prélude au passage d’une meute de voyous en manque que seraient allé chercher les deux gars.
Ce qui finit par arriver.
J’étais à leur merci, et je savais très bien que je n’avais aucune chance de leurs échapper. Jack avait ouvert sa braguette laissant apparaître un sexe énorme qu'il se mit à branler
devant moi. Il me regardait avec des yeux vicieux et me donna l’ordre de le sucer. Je n’avais pas le choix et m’était mise à genoux, prit le sexe dans ma bouche et commença, de bas en haut,
rapidement.
Je ne sais pas comment, mais je me suis retrouvée en train de sucer leurssexes tour à tour, prenant bien soin
de les satisfaire de peur des représailles. On ne savait jamais jusqu’où ils pouvaient aller…
Il ne fallut pas longtemps pour me retrouver en train de sucer et de masturber en même temps. Je sentais les
mains de Jack m’obliger à enfourner sa queue le plus loin possible. Puis au bout d’un moment, il éjacula en flots puissant au fond de ma gorge et me força à tout avaler sans en laisser une
goutte.
Pendant ce temps, un des jeunes s'était posté derrière moi et avait retroussé ma jupe, arrachant ma petite culotte. Ce salaud me caressait la chatte comme un dingue. J’avais peur, mais là, il commençait sérieusement à m’exciter. Je commençais à mouiller, et pas qu’un peu. Il s’en était rendu compte et se marrait.
« Elle à l’air d’aimer ça cette petite salope ! »
Il enfonça un doigt, très vite suivit d’un autre. Il les faisait aller et venir de plus en plus profondément. Ce salaud n’hésita pas un seul instant et y enfonça un troisième doigt. Je n’en
pouvais plus…
Jack s’était installé derrière moi lui aussi.
« On va voir si elle apprécie de ce côté-là aussi… »
Et j’ai sentit deux doigts qui s’insinuaient dans mon anus. Doucement, il se dilatait, et moi je gémissais
comme une chienne.
Ca avait l’air de les exciter, il y en a même un qui n’en pouvait plus et qui se branlait sans retenue. Il me força à lui faire une fellation. Je le suçais, Jack m’enfonçait ses doigts dans mon anus et un autre s’occupait de mon sexe coulant de plaisir. Je me demandais quand est ce qu’ils finiraient par me prendre par tous les orifices, je ne demandais que ça ! A présent, mon cul était assez élargi pour permettre la pénétration d’une bonne grosse verge bien dure. C’était trop bon…
Tellement bon que tout ces vas et viens provoquèrent des spasmes de jouissance que je ne pouvais pas arrêter. Ca les amusait…
Après, ce fut l'orgie totale.
Jack était le premier à me passer dessus. Il m’avait défoncé la chatte à grands coups de queue. Qu’est ce que j’aimais ça ! Il allait et venait, faisant claquer ses bourses remplies de foutre contre mon cul. Mon cul qu’il continuait dilater, rentrant ses deux doigts dedans le plus loin possible. J’étais crevée, mais j’en voulais plus… Il me bourrait à grand coup de rein ce salaud, il m’enfilait jusqu’au bout. Pour lui montrer que j’en voulais encore, j’écartais bien les cuisses. Jack ne se fit pas prier. Tout en continuant son petit manège, il demandait à l’un de ses potes.
« Appelle les autres… Ca devrait leur faire plaisir de pouvoir se vider les couilles avec une nana consentante comme ça… »
Puis il avait éjaculé comme pas permis tout au fond de ma chatte, et à peine s’en était-il retiré qu’un autre avait prit sa place, et s’enfonçait dans mon anus bien écartelé.
Au bout d’un moment, ils étaient une quinzaine. Ils m’étaient tous passé dessus. Ils m’avaient tous remplis la chatte ou le cul, et leur semence coulait entre mes cuisses comme une fontaine.
Puis
un homme un peu plus âgé était arrivé. Il discutait avec Jack, mais j’étais tellement fatiguée que je n’avais pas fait attention à ce qu’ils se disaient. Le gars s’était approché de moi, et il
m’avait demandé :
« T’aimes te faire sauter ? T’aimes te faire défoncer ? »
Je n’ai même pas eu le temps de lui répondre. Il avait sortit sa grosse queue et la faisait coulisser entre mes seins, me forçant à le pomper. Elle était tellement dure que ça me faisait mal. Je me demandais ce que ça ferait de l’avoir entre les cuisses… Rien qu’à cette idée, je mouillais. Ma main s’était insinuer entre mes cuisses et je commençais à me caresser tout en suçant cette magnifique queue que je rêvais d’avoir entre dans la chatte… Le gars s’en était rendu compte. Il me repoussa la tête, stoppant la fellation.
« Tu veux que je te la mette dans le cul ma jolie ? »
J’acquiesçais silencieusement. Il m’avait retourné d’un seul coup et s’était enfoncé dans mon cul qui n’attendait que ça.
C’était divin.
J’étais comme ça que voulez vous… J’étais vraiment une salope.
Après, tout est devenu flou. Le gars qui m’avait sodomisée me força à monter dans une voiture et à peine assis, il laissait ses mains se balader et me pelotait comme une
salope.
« Elle ne demande que ça… Autant en profiter… »
Il m’avait écarté les cuisses et ses doigts s’en donnaient à cœur joie, allant et venant à l’intérieur de ma fente trempée de foutre. Moi, je gémissais. Il me suçait les tétons et les mordillait de tant à autres.
Puis au bout d’un moment, la voiture s’arrêta et il me força à descendre.
Je n’avais aucune idée de l’endroit où l’on m’emmenait.
Le gars m’amena dans un salon. Face à moi se trouvait un autre homme. Pas plus de la trentaine à vu de nez, un blond avec un regard doux et bleu. Il était plutôt mon genre. Il s’était approché doucement de moi.
« Tu es la petite nouvelle alors… Mon nom est Karl. Je suis le propriétaire de cet endroit… Le bordel le plus en vogue, le pays des merveilles, ou plutôt, devrais je dire, des pervers… »
Il avait une voix des plus charmantes, et il avait posé doucement sa main sur ma cuisse droite, la faisant remonter petit à petit. Quand à moi, j’étais trempée. Il me murmurait à l’oreille que ce soir, je serais sa chienne à bite.
Il se réjouissait d’avance à l’idée de se vider entre mes cuisses.
Karl
me força à me mettre à genoux et avait ouvert sa braguette. Son sexe était déjà gonflé et, anticipant ce qu’il allait me demander, je le saisis entre mes lèvres. Au bout de quelques va et vient,
Karl décide d'explorer d'autres parties de mon corps.
Il m’installa en levrette sur le canapé de la salle, puis posa son gland à l’entrée de ma fente, un grand sourire aux lèvres. Puis il s’enfonce d’un seul coup. Ses boules tapent contre ma fente et il commence ses va-et-vient qui s'accélèrent rapidement, me pilonnant sans relâche, me faisant crier. Il me travaille intensément. Puis arrive un moment où il ralentit la cadence et se répand en moi en de long jet brûlant. Il pousse un râle de plaisir et se décide à ressortir. Pour mieux se rapprocher de mon anus. Il voulait me sodomiser.
Karl n’avait aucun problème pour s’insérer à l’intérieur de mon anus : j’avais été sodomisée par une demi-douzaine de gars une heure avant ! Puis son sexe se contracte. Il éjacule au fond de mon anus et s'en retire immédiatement.
« J’ai besoin d’une bonne petite salope pour satisfaire mes clients exigeants, et t’as l’air d’être de cette trempe ma jolie… »
Je n’écoutais même plus ce qu’il me disait : je venais de m’évanouirAoût 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | ||||
|
Derniers Commentaires