Mercredi 28 octobre 3 28 /10 /Oct 10:20

Karl avait toujours eut beaucoup d’idée d’après les dires que j’avais pu entendre. Et cette fois ci, afin de faire un peu d’argent, il avait eu l’idée de tourner un film. Bien entendu, je serais la pauvre victime d’hommes qui ne pensent qu’avec leur bite. Une soubrette qui devait obéir à son maitre, quel scénario recherché !

J’étais donc habillé comme une servante, tablier, robe noire très courte, talons haut, bas noirs…

 

La caméra tournait. Je faisais semblant de faire le ménage quand mon maître est arrivé. Le maître, c’était un gars plutôt bien bâtit. Il m’avait déjà sauté à plusieurs reprises depuis mon arrivée. Je savais ce qui m’attendait.

Il m’avait plaqué contre le mur et sa main vient fouiller sous ma robe, qu’il remonte au dessus de mes hanches. Il me caressait l’entre jambe au travers de ma culotte qui était déjà bien humide. Je gémissais.


« Tu aimes ça ? »

« Oui maître… »


Ma voix chevrotait. Ses doigts arrachèrent ma culotte et s’insinuèrent en moi.


« C’est bon de jouir petite salope… Répond ! »


Il enfonçait tout ces doigts d’un seul coup, me faisant crier.


« Répond ! »


Je mouillais sans m’en rendre compte.


« Oui… Oui maître… »


Il retira ses doigts et les lécha.


« Tu vas me sucer salope… »


Il libérait son sexe de son pantalon, autour de nous, tout le monde observait, et le mec qui tenait la caméra avait une trique d’enfer. Karl aussi. Deux autres gars qui étaient là n’avaient pas hésité à se branler en nous regardant. 

Je suçais mon maître avec grand plaisir.


« Caresse-toi tout en me suçant… »


« Oui maître… »


Mes doigts caressaient fébrilement mon clitoris luisant et ma fente ruisselante.


« Suce bien la queue de ton maître… »


Je continuais, léchant parfois ses bourses pleines. Puis il m’ordonna de m’arrêter.

 

« Viens t’empaler sur ma bonne grosse bite… »


Depuis le moment que j’attendais qu’il me le demande. Je m’installais sur lui, sa queue glissa entre mes cuisses trempée et un long ballet commença. Je poussais des cris et gémissait comme une vraie petite salope.


« T’aimes ça ? »


« Oui maître… Prenez-moi ! »


Il me besognait sans ménagement, grognait, m’arracha ma robe pour me malaxer les seins et les mordillait, les léchait. C’était divin.

Il me souleva et ordonna à nouveau :


« Suce moi et avale moi tout ça… »


Je m’exécutais à nouveau, et au bout de quelques minutes, il inonda ma bouche, et j’avalais le tout sans en laisser une seule goutte.


« C’est bien… Tu es une bonne esclave… »


La caméra s’arrêta, et je dû soulager les autre personnes présentes qui n’attendaient que ça… 

Par Alice
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Mercredi 28 octobre 3 28 /10 /Oct 10:49

Nat

Si j’avais su qu’il serait venu, je lui aurais évité ce spectacle.

Nat m’avait finalement retrouvé, et observait la scène qui se déroulait à travers une lucarne.

J’étais en train de me faire labourer par un mec que je chevauchai et qui m’enfonçait un jouet en latex dans l’anus, me faisant hurler comme tous les diables. Connaissant Nat, me voir dans cette position devait le mettre dans tous ces états. Je suis sûre qu’il avait envie de se branler, peu lui importait qu’il y avait du monde ou pas.


Après avoir éjaculé au fond de mon minou, le gars quitta la chambre, et Nat entra. Comme prévu, une énorme bosse entre les jambes attira mon attention.


« Alors c’est ça ton boulot Alice ? Tu passe tes journées et tes soirées à te faire sauter par des mecs que tu ne connais même pas ?»


Je ne lui avais même pas répondu. Je l’avais poussé sur le lit, le chevauchant, et je libérais de ces tissus son membre gonflé à bloc qui pointait vers le plafond. Nat gémissait.


« Suce-moi… »


Ce que je fis pendant de longues minutes, au bout desquelles Nat m’implora de lui laisser mon sexe à lécher. Il y enfonce un doigt, puis sentant ma fente trempée, y plonge sa langue profondément.

Je le branlais et le suçait, mais sa queue, je la voulais autre part. J’ai arrêté mon manège puis je me suis empalée sur sa queue sans lui demander son avis. Nat soupirait de plaisir.

Depuis le temps qu’il attendait ça.


« Alice… »


Il soupirait mon prénom, me maintenait les hanches avec une force que je ne lui connaissais pas et me bourrait avec plaisir.


« J’vais gicler… J’vais gicler…. »


La vitesse augmente, puis il me maintient ferment tandis qu’il m’inonde de son jus. Nat soupirait. Je suis sûre et certaine qu’il reviendrait me voir pour me sauter en bonne et due forme…

Par Alice
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Mercredi 28 octobre 3 28 /10 /Oct 11:01

Beaucoup plus tard cette nuit là, je fus sommée d’aller rejoindre le patron dans ses appartements. Karl m’attendait, et sans dire un mot, il me força à le suivre et me jeta sans ménagement sur le lit de sa chambre.

J’étais à sa merci.

 

Il me caressait les seins d’abord, et sa bouche se posa sur la mienne. Sa langue dansait avec la mienne, et je sentis sa main glisser entre mes cuisses. Je gémissais. Il baissa doucement la braguette de son pantalon et libéra cette queue qu’il masturbait doucement tout en me doigtant. Je mouillais comme une fontaine. Il s’arrêta et sa tête se dirigea entre mes cuisses. Sa langue commença à me lécher les lèvres, l’une après l’autre. Puis sa langue vint se placer devant ma fente et se mit en devoir de lécher toute cette mouille.

Puis il se redressa devant moi, sexe dur comme de l’acier.


« A quatre pattes… Tout de suite… »


J’obéis, je n’avais pas le choix. J’écartais les cuisses, tendais que ces doigts me caressait l’anus et ma fente trempée. Puis il s’approcha de moi et d’un seul coup, m’empala, introduisant son sexe dans mon vagin. Il allait et venait fébrilement, haletant, puis éjacula une bonne dose de foutre en moi. Quand il se retira, tout coulait le long de mes jambes.  

Et il m’ordonna de sortir, satisfait.

Par Alice
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Mercredi 28 octobre 3 28 /10 /Oct 16:31

 

Moi, pauvre princesse, j’en étais réduite à jouer les prostituées pour ceux qui m’avaient enlevés. C’était le nouveau scénario du jour, et j’étais habillée en conséquence. Ma robe avait été déchirée par ces salauds que je suppliais d’arrêter. Mais les deux hommes n’en avaient que faire. Sourire vicieux au visage, ils sortaient déjà leur engins, droit comme des poteaux. L’un d’entre eux m’attrapa et me força à m’agenouiller.


«Suce ma queue comme une petite salope… »


J’engloutissais son sexe en gémissant, tentant de le satisfaire sous les yeux de son congénère. 

 

« Elle est bonne, hein… T’en as jamais sucé de si grosse ? »


Je continuais, ne faisant pas attention aux insultes qui pleuvaient. L’autre gars s’approcha par derrière, puis frotta sa queue contre la raie de mes fesses. J’étais trempée.

 

« Assez joué maintenant, je vais t’enfiler… »


Il me souleva pour m’empaler sur son sexe. J’étais prise par deux gars en même temps, insultée, traité de chienne à bites par mes bourreaux.


« Une vraie salope… Prend ça ! »


Les coups de butoir devenaient de plus en plus rapides, devant comme derrière. Puis dans un râle, tout deux se vidèrent abondement en moi. Leurs semences coulaient le long de mes cuisses et de ma bouche.


Ils me laissèrent là, à même le sol, tendit qu’ils repartaient sans même me jeter un regard.

Par Alice
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Mercredi 28 octobre 3 28 /10 /Oct 16:35

Quand je me suis réveillée, j’ai sentit une main se diriger vers mon sexe. Un doigt qui se faufilait dans ma fente. Je gémissais puis ouvrait les yeux.

J’étais dans la chambre de Karl. Il me regardait droit dans les yeux.


« Je vais te bouffer la chatte… »


Je le laissais faire, et il plongea sa langue entre mes cuisses. J’adore quand il me fait ça…  Puis il déboutonne son pantalon et me présente sa queue toute raide, la posant sur mes lèvres. Je savais ce qu’il attendait de moi et ne pouvais y résister. Je léchais donc son sexe de tout son long, le suçant, donnant des coups de langues, gémissant de plaisir.


« Ecarte bien les cuisses… »


J’obéis sans discuter.

Il inséra sa bite tout au fond de ma chatte trempée et je sens ses couilles qui cognent contre mes cuisses. Puis il ressort de là et me met à quatre pattes. Je sens son gland contre ma raie, qui descend vers mon anus. Je m’y attendais. Il allait me sodomiser.


Doucement, son gland pénétra mes entrailles avant de s’y enfoncer d’un seul coup. Mouvements de va et vient longs et lents qui me tire des cris de plaisir. Puis il éjacule, me remplissant de son sperme.
Par Alice
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