Alice au pays des pervers

Cette première nuit au bordel avait vraiment été épuisante. Je m’étais endormie, et le cauchemar qui m’envahie cette nuit là devait me rendre toute choses…

Il y avait un homme qui me prenait, qui s’enfonçait en moi, me faisant crier comme une chienne en chaleur…

Mais très vite, l’homme avait laissé la place à une espèce de monstre… Je ne saurais le décrire, mais je sais juste qu’il possédait plusieurs appendices génitaux de très longue taille…

Il m’avait laissé tombée sur le sol, nue, étonnée. Il me regardait avec un sourire des plus vicieux quand ses tentacules, appelons ça ainsi, m’entravèrent les bras. Deux autres suivirent, attrapant mes jambes, les forçant à les écartées devant lui. J’haletais, épuisée, mais ce salaud enfonçait ses doigts dans ma fente qui ruisselait de plus belle. Je criais, gémissait à n’en plus finir. Deux autres tentacules s’enroulèrent autour de moi, l’une titillant mes tétons, malaxant mes seins de temps à autre, et l’autre d’était introduit dans ma bouche, allant et venant.

Le bout de ses tentacules était toute dur, et énorme avec ça. Je prenais mon pied sans trop savoir pourquoi. 

Au bout d’un moment, il s’arrêta et ressortit ses doigts de mon vagin pour les porter à sa bouche. C’est à ce moment que j’ai découvert que sa langue était beaucoup plus longue que la normale, et me demandait ce que ça ferait d’être léchée de cette manière. Je ne me suis pas posée la question très longtemps. Son visage s’était approché de mon sexe, et sa langue s’enfonçait dans ma chatte ruisselante. Je m’était laisser aller complètement, m’appliquant à sucer la tentacule en forme de sexe qu’il m’avait fourrée dans la bouche.

Puis je sens un doigt s’enfoncer dans mon anus, puis un deuxième, très vite suivit d’un troisième. Dans l’état dans lequel je suis, une sodomie ne serait vraiment pas de refus. Il comprend puis se retire de tous mes orifices. Seules restent les tentacules qui me malaxent les seins et m’écartent les cuisses. Il s’adresse à ma d’une voix d’outre tombe :

« Supplie-moi de te remplir salope… »

Je ne peux qu’obéir, le minou que je lui mets sous le nez depuis tout à l’heure n’attend que ça !

« Pitié… Remplissez-moi… Je vous en prie… »

Et mes suppliques sont accompagnées d’une ondulation du bassin qui veut tout dire.

Il ne s’est pas gêné le salaud. Si une tentacule s’est installée dans mon anus, le défonçant comme j’aime ça, deux autres s’étaient introduite dans mon sexe, l’écartelant au maximum. Je ne peux retenir des petits cris de douleur, mais ils sont bien vite remplacés par des cris de jouissance.

Il finit par me remplir partout, au point que je me retrouve inondée de foutre…

Et c’est à ce moment là que je me suit réveillée, le sexe trempé…