Alice au pays des pervers

J’avais l’impression de me réveiller.

J’étais allongée sur une table et je sentais des doigts s’insinuer en moi. Puis se retirait rapidement pour laisser la place à autre chose. Je gémissais, n’y voyant rien du tout, et la personne qui s’appropriait ma fente avait l’air de prendre du plaisir vu comment il haletait comme un porc.

Au bout d’un moment, il avait jouit et à peine avait-il retiré son sexe dégoulinant qu’un autre membre le remplaçait. 

Puis un autre suivit, et un autre, et des mains me forçaient à sucer une autre queue que l’on me présentait. Je suçais, léchait, avalait tout ce qu’on pouvait me présenter.

Et ce petit manège dura un moment, il y avait toujours deux gars sur moi : un dans ma fente ou dans mon anus, et un autre dans ma bouche. Ils enfonçaient leurs sexes dans ma bouche, mon vagin et mon cul, et le sperme coulait à flot le long de mes cuisses.

Je devais avoir joui au moins six ou sept fois quand le dernier me passa dessus.

Ca devait être le gars de la dernière fois, car j’ai bien sentit ma fente se distendre sous les assauts de son énorme queue. Il variait volontairement de rythme à intervalles irréguliers, tantôt horriblement lent, tantôt effroyablement violent. 

Lorsqu’il jouit enfin en moi, au moins une trentaine de gars m’étaient passés dessus, j’étais là sur cette table, nue et couverte de foutre.