Alice au pays des Pervers
Karl avait toujours eut beaucoup d’idée d’après les dires que j’avais pu entendre. Et cette fois ci, afin de faire un peu d’argent, il avait eu l’idée de tourner un film. Bien entendu, je serais la pauvre victime d’hommes qui ne pensent qu’avec leur bite. Une soubrette qui devait obéir à son maitre, quel scénario recherché !
J’étais donc habillé comme une servante, tablier, robe noire très courte, talons haut, bas noirs…
La caméra tournait. Je faisais semblant de faire le ménage quand mon maître est arrivé. Le maître, c’était un gars plutôt bien bâtit. Il m’avait déjà sauté à
plusieurs reprises depuis mon arrivée. Je savais ce qui m’attendait.
Il m’avait plaqué contre le mur et sa main vient fouiller sous ma robe, qu’il remonte au dessus de mes hanches. Il me caressait l’entre jambe au travers de ma culotte qui était déjà bien humide. Je gémissais.
« Tu aimes ça ? »
« Oui maître… »
Ma voix chevrotait. Ses doigts arrachèrent ma culotte et s’insinuèrent en moi.
« C’est bon de jouir petite salope… Répond ! »
Il enfonçait tout ces doigts d’un seul coup, me faisant crier.
« Répond ! »
Je mouillais sans m’en rendre compte.
« Oui… Oui maître… »
Il retira ses doigts et les lécha.
« Tu vas me sucer salope… »
Il libérait son sexe de son pantalon, autour de nous, tout le monde observait, et le mec qui tenait la caméra avait une trique d’enfer. Karl aussi. Deux autres gars qui étaient là n’avaient pas hésité à se branler en nous regardant.
Je suçais mon maître avec grand plaisir.
« Caresse-toi tout en me suçant… »
« Oui maître… »
Mes doigts caressaient fébrilement mon clitoris luisant et ma fente ruisselante.
« Suce bien la queue de ton maître… »
Je continuais, léchant parfois ses bourses pleines. Puis il m’ordonna de m’arrêter.
« Viens t’empaler sur ma bonne grosse bite… »
Depuis le moment que j’attendais qu’il me le demande. Je m’installais sur lui, sa queue glissa entre mes cuisses trempée et un long ballet commença. Je poussais des cris et gémissait comme une vraie petite salope.
« T’aimes ça ? »
« Oui maître… Prenez-moi ! »
Il me besognait sans ménagement, grognait, m’arracha ma robe pour me malaxer les seins et les mordillait, les léchait. C’était divin.
Il me souleva et ordonna à nouveau :
« Suce moi et avale moi tout ça… »
Je m’exécutais à nouveau, et au bout de quelques minutes, il inonda ma bouche, et j’avalais le tout sans en laisser une seule goutte.
« C’est bien… Tu es une bonne esclave… »
La caméra s’arrêta, et je dû soulager les autre personnes présentes qui n’attendaient que ça…