Alice au pays des Pervers
Après, tout est devenu flou. Le gars qui m’avait sodomisée me força à monter dans une voiture et à peine assis, il laissait ses mains se balader et me pelotait comme une
salope.
« Elle ne demande que ça… Autant en profiter… »
Il m’avait écarté les cuisses et ses doigts s’en donnaient à cœur joie, allant et venant à l’intérieur de ma fente trempée de foutre. Moi, je gémissais. Il me suçait les tétons et les mordillait de tant à autres.
Puis au bout d’un moment, la voiture s’arrêta et il me força à descendre.
Je n’avais aucune idée de l’endroit où l’on m’emmenait.
Le gars m’amena dans un salon. Face à moi se trouvait un autre homme. Pas plus de la trentaine à vu de nez, un blond avec un regard doux et bleu. Il était plutôt mon genre. Il s’était approché doucement de moi.
« Tu es la petite nouvelle alors… Mon nom est Karl. Je suis le propriétaire de cet endroit… Le bordel le plus en vogue, le pays des merveilles, ou plutôt, devrais je dire, des pervers… »
Il avait une voix des plus charmantes, et il avait posé doucement sa main sur ma cuisse droite, la faisant remonter petit à petit. Quand à moi, j’étais trempée. Il me murmurait à l’oreille que ce soir, je serais sa chienne à bite.
Il se réjouissait d’avance à l’idée de se vider entre mes cuisses.
Karl
me força à me mettre à genoux et avait ouvert sa braguette. Son sexe était déjà gonflé et, anticipant ce qu’il allait me demander, je le saisis entre mes lèvres. Au bout de quelques va et vient,
Karl décide d'explorer d'autres parties de mon corps.
Il m’installa en levrette sur le canapé de la salle, puis posa son gland à l’entrée de ma fente, un grand sourire aux lèvres. Puis il s’enfonce d’un seul coup. Ses boules tapent contre ma fente et il commence ses va-et-vient qui s'accélèrent rapidement, me pilonnant sans relâche, me faisant crier. Il me travaille intensément. Puis arrive un moment où il ralentit la cadence et se répand en moi en de long jet brûlant. Il pousse un râle de plaisir et se décide à ressortir. Pour mieux se rapprocher de mon anus. Il voulait me sodomiser.
Karl n’avait aucun problème pour s’insérer à l’intérieur de mon anus : j’avais été sodomisée par une demi-douzaine de gars une heure avant ! Puis son sexe se contracte. Il éjacule au fond de mon anus et s'en retire immédiatement.
« J’ai besoin d’une bonne petite salope pour satisfaire mes clients exigeants, et t’as l’air d’être de cette trempe ma jolie… »
Je n’écoutais même plus ce qu’il me disait : je venais de m’évanouir