Alice au pays des Pervers

Jack était le premier à me passer dessus. Il m’avait défoncé la chatte à grands coups de queue. Qu’est ce que j’aimais ça ! Il allait et venait, faisant claquer ses bourses remplies de foutre contre mon cul. Mon cul qu’il continuait dilater, rentrant ses deux doigts dedans le plus loin possible. J’étais crevée, mais j’en voulais plus… Il me bourrait à grand coup de rein ce salaud, il m’enfilait jusqu’au bout. Pour lui montrer que j’en voulais encore, j’écartais bien les cuisses. Jack ne se fit pas prier. Tout en continuant son petit manège, il demandait à l’un de ses potes.

« Appelle les autres… Ca devrait leur faire plaisir de pouvoir se vider les couilles avec une nana consentante comme ça… »

Puis il avait éjaculé comme pas permis tout au fond de ma chatte, et à peine s’en était-il retiré qu’un autre avait prit sa place, et s’enfonçait dans mon anus bien écartelé.

 

Au bout d’un moment, ils étaient une quinzaine. Ils m’étaient tous passé dessus. Ils m’avaient tous remplis la chatte ou le cul, et leur semence coulait entre mes cuisses comme une fontaine.  

Puis un homme un peu plus âgé était arrivé. Il discutait avec Jack, mais j’étais tellement fatiguée que je n’avais pas fait attention à ce qu’ils se disaient. Le gars s’était approché de moi, et il m’avait demandé :

« T’aimes te faire sauter ? T’aimes te faire défoncer ? »

Je n’ai même pas eu le temps de lui répondre. Il avait sortit sa grosse queue et la faisait coulisser entre mes seins, me forçant à le pomper. Elle était tellement dure que ça me faisait mal. Je me demandais ce que ça ferait de l’avoir entre les cuisses… Rien qu’à cette idée, je mouillais. Ma main s’était insinuer entre mes cuisses et je commençais à me caresser tout en suçant cette magnifique queue que je rêvais d’avoir entre dans la chatte… Le gars s’en était rendu compte. Il me repoussa la tête, stoppant la fellation.

« Tu veux que je te la mette dans le cul ma jolie ? »

J’acquiesçais silencieusement. Il m’avait retourné d’un seul coup et s’était enfoncé dans mon cul qui n’attendait que ça.

C’était divin.  
J’étais comme ça que voulez vous… J’étais vraiment une salope.

Jeu 8 oct 2009 Aucun commentaire